Effroyables téléscopages
-
C'est toujours compliqué de mettre sur le même plan deux drames, ça peut
laisser penser les esprits chagrins et les bas du plafond qu'on est tentés
de...
lundi 21 septembre 2009
QUI L'EUT CRU ? L'EUSSES TU CRU, TOI ?
Des pâtes, oui, mais des papattes qui courent sur des touches nacrées...
Oui, c'est bien ce lien qu'il y eût entre notre VGE national et Lady Diana.
L'accordéon !
Ce magique instrument qui créa subitement ce coup de foudre entre le déplumé et la belle.
Anne Aymone, il faut bien le dire, soupirait de désespoir quand notre Valéry national sortait son instrument lors des fêtes de famille, et nous en chantait une ch'tite.
Puis un jour, la princesse le croisa, lui, l'handicapé du langage et des discours au coin du feu, mais pas des touches nacrées, elle le vit jouer, et se dit "oh, it's so frenchy !"
Les doigts du maigre coucou couraient avec agilité sur les touches, et ça la fit frémir, lui donna la chair de poule.
C'est ainsi qu'ils devinrent amants, presque logiquement.
L'homme à l'accordéon avait pour elle infiniment plus de charme que les oreilles-radars et les cravates à chier de son Charles de mari.
Elle prit secrètement des cours d'accordéon à Buckingham, personne jamais ne le sût.
Charles se doutait de quelque chose, il tenta bien de sortir de son engoncement, changea même de coiffure, se punkisa, mais rien n'y fit.
Son regard, sur cette photo, sous ses cheveux remplis de gel Studio Line, nous dit bien son anxiété à voir Diana sous le charme du frenchy et de son accordéon.
Voila, Voila, quoi...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
9 commentaires:
j'en étais sur ! l'accordéon, c'est too much. Et dire que je pensais que posséder une Kangoo était suffisant pour emballer les princesses.
Très jolie photo.
Il a la santé, le vieux VGE pour vouloir nous faire croire ça...
En tous cas il s'y connait pour faire un bon coup de pub notre VGE national !
@ nicolas
J'ai gagné, alors ?
@ Constance
Sûr, c'est un malin, sauf que tous les anglais se payent sa tête, maintenant.
;D
en tant que correspondante locale du CNR;) (souvenirs, souvenirs, n'est ce pas, Poison-social ?), je me permets de faire un copié-collé d'un message reçu hier :
"Le 4 novembre prochain sortira sur les écrans "WALTER, RETOUR EN RESISTANCE" de Gilles Perret, cinéaste définitivement Savoyard, dont vous avez peut-être vu "Ma Mondialisation" portrait drolatique d'un patron qui se croyait humaniste tout en délocalisant.
"WALTER, RETOUR EN RESISTANCE" est un portrait sensible et éclairant de Walter Bassan, ancien résistant communiste, héros discret et rescapé des camps dont la colère s'est réveillée quand il a vu notre président et son gouvernement saboter sans vergogne tous les acquis que lui et ses camarades de droite comme de gauche du Conseil National de Résistance avaient conquis : Sécurité Sociale, retraites par répartition, contrôle par l'état des secteurs vitaux (énergie, transports, courrier), liberté de la presse. Et ce alors que Sarkozy récupère les symboles de la Résistance : présence annuelle à l'emblématique Plateau des Glières (à la façon Roche de Solutré mitterrandienne), valorisation du poème de Guy Moquet, etc.
Le verbe "résister" peut-il encore se conjuguer au présent? Les combats d'hier sont-ils toujours d'actualité? Ce sont les questions que pose le film.
Nous recherchons des soutiens, des relais capables de nous aider à faire parler du film, à le soutenir auprès des salles de cinéma afin qu'il soit programmé et/ou même d'organiser des projections militantes.
Différentes projections presse sont organisées à Paris.Veuillez trouver les dates ci-dessous.La prochaine est jeudi.
Si vous ne pouvez y assister, des dvd sont à votre disposition sur demande d'envoi.
Vous trouverez également les liens vers le site et la bande annonce du film.
PROJECTIONS PRESSE :
jeudi 24 septembre à 11h
jeudi 8 octobre à 11h
jeudi 22 octobre à 11h
jeudi 29 octobre à 11h
Au cinéma Espace St Michel - 7 Place St Michel 75005 Paris - M° St Michel"
même si c'est hors sujet (super, cette photo du prince "charmant" Charles), j'espère ne pas être censurée.
Merci
@ miha
Mais pas du tout, te censurer, enfin...
bienvenue et merci pour l'info.
Bon billet, littéraire, échevelé, et tout. Cependant, j'ai une critique à faire sur un passage: «Les doigts du maigre coucou couraient». Ceci est désobligeant pour la plupart des coucous, qui n'ont pas une tête de nœud, potelée comme un gland. Et d'autres part, les coucous ne courent pas, ils volètent, prennent leur envol, s'élèvent…, à l'extrême rigueur: ils piètent comme les perdrix, mais ils ne courent pas.
Sacré toi, je me doutais que tu buterais sur ce mot, ne l'avais je pas utilisé, l'avouerai je, pour te faire tiquer ?
;)
Enregistrer un commentaire