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lundi 17 novembre 2008

MA VERSION PREFEREE

C'est cette France, qui me plait, si riche de ses différences et de ses convergences, cette palette à créer tous les jours dans la fraternité; je suis né à Draveil en Essonne, j'ai flâné parmi la forêt de Sénart, les "fouilles", Paris-Jardin, gravité parmi des potes black blancs beurs, alors si ça ne plait pas à certains tenants des "bienfaits du colonialisme" , que ce soient eux qui s'en aillent... et bon vent.

"Il revient à ma mémoire

Des souvenirs familiers

Je revois ma blouse noire

Lorsque j'étais écolier

Sur le chemin de l'école

Je chantais à pleine voix

Des romances sans paroles

Vieilles chansons d'autrefois

Douce France

Cher pays de mon enfance

Bercée de tendre insouciance

Je t'ai gardée dans mon cœur!

Mon village au clocher aux maisons sages

Où les enfants de mon âge

Ont partagé mon bonheur

Oui je t'aime

Et je te donne ce poème

Oui je t'aime

Dans la joie ou la douleur

Douce France

Cher pays de mon enfance

Bercée de tendre insouciance

Je t'ai gardée dans mon cœur

J'ai connu des paysages

Et des soleils merveilleux

Au cours de lointains voyages

Tout là-bas sous d'autres cieux

Mais combien je leur préfère

Mon ciel bleu mon horizon

Ma grande route et ma rivière

Ma prairie et ma maison

Douce France

Cher pays de mon enfance

Bercée de tendre insouciance

Je t'ai gardée dans mon cœur!

Mon village au clocher aux maisons sages

Où les enfants de mon âge

Ont partagé mon bonheur

Oui je t'aime

Et je te donne ce poème

Oui je t'aime

Dans la joie ou la douleur

Douce France

Cher pays de mon enfance

Bercée de tendre insouciance

Je t'ai gardée dans mon cœur"

Pour les amateurs d'art

Je vous livre une petite biographie de ma grand-tante, la plus précise à mon goût :

"Elle est née avec son siècle, un 10 Avril 1900 et nous aurions pu fêter une grande centenaire tout récemment.
Bessarabienne d’origine, elle devient sujette roumaine en 1918 .
Elève en peinture de Kogan, peintre arrivant de Muniche, c’est avec lui que va commencer et ne s’achèvera jamais, ce qu’Antoine Paneda - son élève- appelle la "Peinture passion".
Olga va assister à la création d’une Académie des Beaux Arts en cette Bessarabie devenue roumaine.
Par elle, Olga va s’ouvrir au monde extérieur : des " messages" lui parviendront sous forme de reproductions d’œuvres de peintres français, des revues d’art ; par là, elle va connaître les mouvements passés et présent de l’art pictural. Les impressionnistes, les cubistes, les recherches de Picasso, les fauves de 1905, Matisse, Derain, Jean Puy…
Elle s’associe aux discours d’André Breton, le surréaliste. Tout cela fera naître en elle un désir incontrôlable de rejoindre Paris.
Hélas, son visa pour la France lui étant refusé, elle ira en Allemagne et s’installera à Hellereau, près de Dresde. Elle y travaillera quelques temps avec Daleroz.
Sa rencontre avec le danseur Kivilo va l’orienter vers une école d’arts appliqués berlinoise.
Enfin, elle obtient son visa pour la France, pour Paris oû elle va connaître des heurts et malheurs attachés à l’émigré pauvre. Elle n’avait que 5 francs en poche !
Olga va trouver un petit travail de décoratrice sr porcelaine. Puis un autre, plus rémunérateur, dans une fabrique de Batik, ce qui va lui permettre de fréquenter la Grande Chaumière dans l’atelier d’André Lhôte.
Elle va fuir les tumultes de la vie parisienne et va s’installer à Oyonnax oû une place de décoratrice lui est offerte.
En 1924, elle épousera son chef de service, Edouard Beaslay et obtiendra la nationalité française.
1926, Olga Beaslay est à Montmartre et expose aux salons parisiens.
1930, la galerie Bernheim Frères l’invite à constituer une exposition personnelle.
De 1933 à 1938, après l’abandon de son mari, elle va créer et animer un atelier de dessins sur tissus.
En cette année 1938, elle expose Galerie Worms sous le nom d’Olga Olby, pseudonyme qu’elle adopte définitivement.
Divorcée, elle épouse le docteur Yves Dommartin et s’installe à Sauvigny les Bois.
Ce seront les moments importants de sa vie, depuis 1938, particulièrement ceux vécus en Nivernais : Sauvigny les Bois, Decize, Cercy la Tour, Nevers, Saint léger les Vignes, Champvert.
A l’occasion des manifestations marquant l’avènement de l’an 2000, le cercle artistique Decizois avait tenu à organiser cette rétrospective, voulant honorer ainsi Olga Dommartin Olby pour l’intelligence de son art, pour les souvenirs des marques d’amitié qu’elle avait fait à Decize."

http://www.cecicela.com/Olga-Dommartin-Olby

REVERIES


Volutes et chimères


Licornes grâciles


Visions ephémères


Sensations subtiles


Ondines et ailes d'anges


Délires oniriques


Rêveries et songes


Fantasmagoriques


Châteaux en Espagne


Des endroits magiques


Des mâts de cocagne


Aventures lyriques


L'imagination


Dessine au fusain


Les brûmes d'Avalon


Au teint cristallin.

NOSTALGIE



http://www.coucoucircus.org/emissions/generique.php?id=20

SOUVENIRS DE VOYAGE





























DEPUIS LE TEMPS QU'ON VOUS LE REPETE...

"Hier on avait une MAM paradant, exhibant ses trophées : les terroristes d'ultra-gauche retrouvés avec une vitesse extravagante. La gauche, du PC-CGT, à la LCR pouvait se dissocier.Aujourd'hui, malgré le renouvellement des garde-à-vue, la police avoue à demi-mot qu'elle a un peu tapé au pif."Il n'y a pas d'élément matériel qui permette de les attacher directement aux actes de malveillance", nous dit-elle."On ne peut pas leur imputer individuellement tel ou tel fait précis".Alliot-Marie elle-même a perdu de sa gloire. "Les perquisitions ont permis de recueillir beaucoup de documents très intéressants".Très intéressants ? La police n'a retrouvé ni horaires de train, ni carte détaillée du réseau SNCF, ni explosifs, selon une "source policière". Une des rares preuves ? "un manuel décrivant la conduite à tenir en cas de garde à vue". On parle aussi de matériel d'escalade (hou, dangereux !) et de tiges de métal n'ayant rien à voir avec les dispositifs anti-trains.L'opération se dévoile : un coup médiatique et politique, pour abattre des gens un peu trop remuants à coup de gav de 4 jours et de reportages diffamants passant en boucle à la télé.Un coup préparé de longue date (la surveillance des gens arrêtés durait depuis apparemment 7 mois), qui s'est trouvé accéléré par l'affaire des TGV. Les flics parlent en effet de coïncidence : durant leur surveillance politique ils auraient vu un des groupes filés s'approcher de voies de chemin de fer - sans plus. Reste leur dernière arme : les analyses génétiques.Attendons donc avant de deviser sur des personnes qui n'ont, jusqu'à preuve du contraire, rien à voir avec ce dont on les accuse. Rappelons aussi que la FA est la seule organisation politique à avoir apporté son soutien aux accusés, qui rappelons-le, sont en train de subir la torture blanche dans les geôles ultra-modernes de la SDAT.
( http://grenoble.indymedia.org/index.php?page=article&id=7958 ) "

( http://infokiosques.net/spip.php?article597 )