Effroyables téléscopages
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C'est toujours compliqué de mettre sur le même plan deux drames, ça peut
laisser penser les esprits chagrins et les bas du plafond qu'on est tentés
de...
lundi 16 mars 2009
UN GRAND ARTISTE NOUS A QUITTE, J'VEUX L'FEUILLETON A LA PLACE; BISOUS, ALAIN
"J'ai crevé l'oreiller
J'ai dû rêver trop fort
Ca m'prend les jours fériés,
Quand Gisèle clappe dehors
J'aurais pas dû ouvrir
A la rouquine carmélite
La mère sup' m'a vu v'nir
Dieu avait mis un kilt
Y a dû y avoir des fuites
Oh oh vertiges de l'Amour
Mes circuits sont niqués
D'puis y'a un truc qui fait masse
L'courant peut plus passer
Non mais t'as vu c'qui passe
J'veux l'feuilleton à la place
Oh oh vertiges de l'Amour
Tu t'chopes des suées à Saïgon
J'm'écris des cartes postales du front
Si ça continue j'vais m'découper
Suivant les points, les pointillés eh
Vertiges de l'Amour
Désirs fous que rien ne chasse
Cœur transi reste sourd
Au cri du marchand d'glace
Non mais t'as vu c'qui passe
J'veux l'feuilleton à la place
Oh vertiges de l'Amour
Mon légionnaire attend qu'on l'shunte
Et la tranchée vient d'être repeinte
Ecoute, si ça continue j'vais m'découper
Suivant les points, les pointillés, eh
Vertiges de l'Amour
J'ai dû rêver trop fort
Ca m'prend les jours fériés
Quand Gisèle clappe dehors
J'ai crevé l'oreillé
J'ai dû rêver trop fort
Ca m'prend les jours fériés,
Quand Gisèle claque dehors"
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