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mardi 11 novembre 2008

ARTICLE ENVOYE PAR LILIANE GABEL (achetez ses livres sur http://www.i-editions.com , et le livre d'Olivier Bonnet, "Sarkozy, la grande manipulation")

" Le président de la République, à plusieurs reprises, a indiqué qu’il était lui-même le représentant d’une minorité" rapporte Christine Lagarde (ministre de l’Économie)

« Si Barack Obama était français, il serait à l’UMP ! » assure Mathieu Soliveres (Conseiller National des Jeunes Populaires) sur le Post


"Pour l’événement (Sarkozy à Vaujours), il fallait faire place nette : une trentaine de caravanes de gens du voyage qui résidaient temporairement à Vaujours ont ainsi été déplacées dimanche soir dans la commune voisine de Sevran" informe Rue89.
Sur un parking inapproprié (ni eau ni électricité, ni sanitaires), plutôt que de les inviter à profiter d’une deux aire d’accueil, "pour bien préparer cette visite et éviter toute rencontre malencontreuse" suppose-t-on sur Obs.com.

" Que peut-il ? Tout. Qu’a-t-il fait ? Rien. Avec cette pleine puissance, en huit mois un homme de génie eût changé la face de la France, de l’Europe peut-être. Seulement voilà, il a pris la France et n’en sait rien faire. Dieu sait pourtant que le Président se démène : il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ; ne pouvant créer, il décrète ; il cherche à donner le change sur sa nullité ; c’est le mouvement perpétuel ; mais, hélas ! cette roue tourne à vide. L’homme qui, après sa prise du pouvoir a épousé une princesse étrangère est un carriériste avantageux. Il aime la gloriole, les paillettes, les grands mots, ce qui sonne, ce qui brille, toutes les verroteries du pouvoir. Il a pour lui l’argent, l’agio, la banque, la Bourse, le coffre-fort. Il a des caprices, il faut qu’il les satisfasse. Quand on mesure l’homme et qu’on le trouve si petit et qu’ensuite on mesure le succès et qu’on le trouve énorme, il est impossible que l’esprit n’éprouve pas quelque surprise. On y ajoutera le cynisme car, la France, il la foule aux pieds, lui rit au nez, la brave, la nie, l’insulte et la bafoue ! Triste spectacle que celui du galop, à travers l’absurde, d’un homme médiocre échappé »
Texte de V. Hugo, extrait de Napoléon le petit
(source http://www.plumedepresse.info)

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