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lundi 6 avril 2009

I HAVE A DREAM

  • "Je vous le dis aujourd'hui, mes amis, bien que nous devions faire face aux difficultés d'aujourd'hui et de demain, j'ai tout de même un rêve. C'est un rêve profondément enraciné dans le rêve américain."
  • Je fais le rêve qu'un jour, cette nation se lève et vive sous le véritable sens de son credo : “Nous considérons ces vérités comme évidentes, que tous les hommes ont été créés égaux.”
  • Je fais le rêve qu'un jour, sur les collines rouges de la Géorgie, les fils des esclaves et les fils des propriétaires d'esclaves puissent s'asseoir ensemble à la table de la fraternité.
  • Je fais le rêve qu'un jour, même l'État du Mississippi, désert étouffant d'injustice et d'oppression, soit transformé en une oasis de liberté et de justice.
  • Je fais le rêve que mes quatre jeunes enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés pour la couleur de leur peau, mais pour le contenu de leur personne. Je fais ce rêve aujourd'hui !
  • Je fais le rêve qu'un jour là-bas en Alabama, avec ses racistes vicieux, avec son gouverneur aux lèvres dégoulinantes des mots interposition et annulation; un jour au fin fond de l'Alabama les petits garçons noirs et les petites filles noires puissent joindre leurs mains avec les petits garçons blancs et les petites filles blanches, comme des frères et des sœurs.
  • Je fais ce rêve aujourd'hui.
  • Je fais le rêve qu'un jour chaque vallée soit glorifiée, que chaque colline et chaque montagne soit aplanie, que les endroits rudes soient transformés en plaines, que les endroits tortueux soient redressés, que la gloire du Seigneur soit révélée et que tous les vivants le voient tous ensemble."
  • Magnifique discours du pasteur Martin Luther King.
    Il est seulement dommage, et ça n'a pas changé depuis, que dans ce rêve, il n'aie pas associé parmi les noirs et les blancs, les natifs américains, que l'on appelle stupidement les "indiens"; on a trop souvent tendance à les oublier dans les beaux discours humanistes.

    MORCEAUX CHOISIS

    "Mais le président sans peuple, ce ne sont pas simplement ces déplacements dans des villes vidées de leurs habitants.

    C’est d’abord un mode de fonctionnement, que ces visites illustrent à merveille.

    Ce qui caractérise le président sans peuple, c’est qu’on ne sait plus très bien finalement ce qu’il préside.

    Le président sans peuple, c’est celui qui a annoncé qu’il ne ferait aucun référendum pendant les cinq ans de son mandat et qui refuse la proportionnelle aux élections législatives.

    Le président sans peuple, c’est celui qui, en février 2008, fit passer en force, et en catimini, la Constitution européenne rebaptisée Traité de Lisbonne, alors qu’elle avait été massivement rejetée par les suffrages populaires le 29 mai 2005.


    Le président sans peuple, c’est celui qui décide unilatéralement de pousser la France dans le commandement intégré de l’OTAN, soumettant un peu plus notre politique étrangère aux desiderata de Washington.


    Le président sans peuple, c’est celui qui prétend qu’on ne se rend plus compte qu’il y a des grèves en France.


    Le président sans peuple, c’est celui qui a géré avec une légèreté indigne et un mépris incroyable les mouvements sociaux massifs qui ont agité la France d’outre-mer pendant plus d’un mois.


    Le président sans peuple, c’est celui qui continue le bling bling et les vacances chez des milliardaires sulfureux alors que son pays traverse une crise économique et sociale d’une brutalité inouïe.


    C’est tout cela le président sans peuple.

    C’est un président qui ne gouverne plus un pays et son peuple, mais qui gère des tableaux statistiques, qui sans cesse se cherche des maîtres ailleurs, à Bruxelles, à Berlin ou Washington, sans s’intéresser aux attentes de la population dont il est censé défendre les intérêts."


    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=54168

    WHAT ELSE ? NO COMMENT