Paperblog http://www.wikio.fr

mercredi 25 novembre 2009

bella ciao iran


Una mattina mi son svegliata
O bella ciao, o bella ciao, o bella ciao ciao ciao
Una mattina mi son svegliata
Eo ho trovato l'invasor

O partigiano porta mi via
O bella ciao, o bella ciao, o bella ciao ciao ciao
O partigiano porta mi via
Che mi sento di morir

E se io muoio da partigiano
O bella ciao, o bella ciao, o bella ciao ciao ciao
E se io muoio da partigiano
Tu mi devi seppellir

Mi seppellirai lassu in montagna
O bella ciao, o bella ciao, o bella ciao ciao ciao
Mi seppellirai lassu in montagna
Sotto l'ombra di un bel fior

Cosi le genti che passeranno
O bella ciao, o bella ciao, o bella ciao ciao ciao
Cosi le genti che passeranno
Mi diranno che bel fior

E questo é il fiore del partigiano
O bella ciao, o bella ciao, o bella ciao ciao ciao
E questo é il fiore del partigiano
Morto per la libertà

http://www.deezer.com/fr/#music/result/all/bella%20ciao

qu'est ce que le rêve français


Homer me propose une chaine.
Qu'est ce que le rêve français, bonne question, difficile question...
en tout cas, le rêve américain n'était pas aussi mercantile, au début.
Des gens comme Springsteen ont refusé leurs chansons (comme "Born in the USA") à beaucoup, pour qu'on en fasse pas un hymne hyper-patriotique, ce que n'est pas du tout cette chanson, elle est même plutôt amère par certains côtés...
Faire un barbecue, chez nous, n'est pas loin du mode de vie de l'américain moyen, donc y'a t'il un rêve ci, un rêve ça, pays par pays ? je ne crois pas... quand on veut être heureux, c'est déjà un état qu'on se force à ressentir à l'intérieur (et si ça marche, on ne se "force" plus) et qu'on essaie de restituer à ceux qui nous entourent, quelque soit le côté de la frontière où l'on se trouve.
Quand le mur est tombé, je ne crois pas qu'il y aie eu un rêve allemand global, il y a eu un rêve ouest-allemand par rapport au voisin, et inversement, chacun est resté avec son identité et sa culture originelle, on ne peut donc pas vraiment parler de "rêve allemand".
C'est si compliqué.
Peut-on réduire un rêve à un pays ?
Je ne le crois pas.

dimanche 22 novembre 2009

puissent ils enfin être entendus


Il n'est plus vraiment acceptable aujourd'hui de continuer à les appeler "indiens d'amérique" , on peut éventuellement les nommer "amérindiens", bien que leur caractère d' "indiens des Indes" soit bien évidemment erroné, on le sait depuis longtemps.
L'idéal serait de les nommer par le nom de leurs tribus respectives, mais "natif" est plus pratique pour nous et à peu près correct envers eux.
J'insiste là dessus car pendant longtemps, avant l'apparition de toutes ces nouvelles appellations, je tenais à les nommer "les vrais américains"

"Nous demandons que vous nous aidiez à assurer une meilleure éducation, une vie meilleure à nos enfants et nous vous aimons!", a lancé la présidente des Sioux Oglala, Tera Tibulz, devant un président Obama visiblement ému et presque décontenancé face à l'intensité des attentes de cette communauté à qui il a promis des jours meilleurs au cours de sa campagne."

http://www.lexpress.fr/actualites/1/obama-promet-aux-amerindiens-la-fin-des-belles-paroles_826641.html

Cette "conférence tribale" au sein du ministère de l'intérieur est une première.
Comme l'a été la nomination d'une Cherokee à la tête du bureau des affaires indiennes (institution dont les amérindiens se sont toujours méfiés à juste titre, car trop de souvenirs de promesses non tenues).


A ce sujet, j'ai toujours attendu Obama au tournant après son élection, car j'ai beaucoup de respect et de peine pour les natifs, pour leur condition, ils ne sont que 1,5 % de la population totale des Etats-Unis, et jusqu'à présent, les présidents successifs leur faisaient beaucoup de belles promesses durant les campagnes électorales, puis une fois élus les oubliaient bien vite.
J'avais peur qu'Obama ne s'intéresse beaucoup plus à la situation des afro-américains qu'à celle des natifs, qui n'ont pas la même histoire, et peuvent être plus difficiles à appréhender, ont des souffrances identitaires différentes, plus "cachées" (essayez de leur parler de leur histoire, de la situation des réserves, bien souvent ils se fermeront comme des huitres).

Seuls les navajos ont une véritable "nation officielle", et leurs rapports sont souvent compliqués avec les etats-unis (par exemple, refus de prêter des oeuvres, armes ou outils culturels et pédagogiques pour les musées des etats-unis, alors qu'ils le font pour le reste du monde).

Et puis peut-être que non, en définitive.
Peut-être qu'Obama représente un vrai espoir pour eux, cette fois ci.
En tout cas, d'après leurs réactions, ils semblent fonder des espérances sur cet homme.
Comme quelques autres humains un peu partout ?

Quand on pense aux natifs, on oublie souvent qu'ils sont aussi bien inuits qu'amazoniens, et qu'ils couvraient à l'origine tout le continent américain, sans frontières officielles, si ce n'est des "territoires de chasse".

Il n'est donc pas idiot de dire que non seulement Barak Obama, mais aussi Evo Morales, qui est un "vrai indien" président d'un pays du continent américain, constituent un progrès pour les amérindiens, pour l'instant très embryonnaire, certes.

jeudi 19 novembre 2009

la politique, suite...


J'ai trouvé un boulot, un vrai.

Je veux dire un cdi à plein temps, denrée rare de nos jours.

Je bosse la nuit comme agent de sécurité pour garder une sucrerie.

Une usine, c'est glauque, c'est underground, et j'adore.

Quand je fais mes rondes, je regarde le ciel étoilé au dessus de moi, magnifique comme un tapis de diamant.

Je suis riche de cela, et ça nous appartient tous.

Je croise parfois des lièvres, des renards.

Ils se fichent bien des barrières, de l'usine, des grillages et sont chez eux sur tous ces hectares.

Quel rapport avec la politique, vous allez me dire ?

L'espoir, malgré la connerie de nos élus.

Lediazec a écrit ça, j'ai adoré :

"Mais la gauche… Celle pour laquelle nous militons. Celle pour laquelle nous nous prenons le melon, nous engueulons, nous insultons… Celle qui colle au palpitant, qui te flanque la chair de poule, qui fait bander le rêve, celle que nous voudrions voir danser dans la rue, elle est où ?

Elle est où cette gauche qui s'occupe de société et qui parle de politique, de culture, d'humanité, de famine et de fraternité ?

Viens ma belle, viens ma gazelle. Le lion n'est pas mort pour rien !"

Et cette biche (pas une gazelle, faut pas exagérer non plus !) que j'ai vue ce matin à l'aube avec le rondier qui me ramenait chez moi (encore cette satanée voiture qui est en réparation)...

L'espoir, vous dis-je, la beauté, la poésie.

La nature, elle est toujours là, elle n'est ni de gauche, ni de droite ni d'ailleurs, aucun monopole ne peut la revendiquer, pas même les verts.

On oublie trop souvent de la regarder....

Et ça fait aimer la vie, du coup, formidablement, et espérer encore et encore.

Je vous, je nous aime.

samedi 14 novembre 2009

la politique...

Il n'y a pas de politique, il n'y a pas plus de politique que de boeuf en gelée au menu.
La politique au sens noble du terme, au sens grec, participer à la vie de sa cité, elle est morte (ou seuls quelques uns peuvent encore la comprendre).
Alors il nous reste le pamphlet, vieux comme Hérode, et pas politiquement correct.
Mon pauvre Coucou, tu parles de combattre l'adversaire noblement, la noblesse du combat, elle reste dans nos coeurs, mais dans nos pratiques (on n'est plus chez les mousquetaires) , mieux vaut ne pas se gêner, tous les moyens sont bons pour ridiculiser l'image du naboléon, ainsi que ses réformes politiques.
On est noble quand on a en face un adversaire qui respecte les institutions.
Il n'y a pas à jouer les chevaliers blancs, tous les moyens, des plus nobles, aux plus vicelards, croche-pied, pièges à loups,sont tournés vers le résultat, seul le résultat compte.
Le nabot est crédité de 39 % ?
Achevons-le.
Insistons encore plus sur ses tics nerveux, ses bafouillages, sa façon de se dresser sur ses talonnettes, montrons au monde à quel point on en a marre d'avoir une grenouille qui voulait se faire plus grosse que le boeuf.
Et puis bien sûr, puisque vous le souhaitez, parlons de ses réformes injustes et au pas de charge, ses magouilles pour détourner les amendements, mais ces choses-là parlent d'elles mêmes, tous les jours que Dieu fait.
S'il y en a qui ne sont pas contents, on créera à quelques personnes un site-défouloir sur le naboléon, où on sera chez nous, où comme dit Gwendal, on pourra se défouler, on assumera nos risques, et on ne fera pas les chochotes à craindre qu'on nous reprenne.
Et si l'hébergeur nous vire, on le refera en code source libre.
Faire partir des écrits vers l'extérieur, de nos prochaines cellules ? pourquoi pas ?
Mais oui, que croyez-vous, on fait de l'édulcoré, ou on parle vrai comme dans l' "insurrection qui vient", et on sait ce qu'on risque ?
Et vive la liberté d'expression, bordel !

dimanche 8 novembre 2009

Chassez le couillon, il revient au galop

Cette petite daube prétend nous apprendre ce qu'est un "pur de gauche".
Il passe son temps à nous insulter, nous trainer plus bas que terre, et aimerait nous intimider par sa supériorité intellectuelle, et que plus jamais nous n'osions écrire le moindre billet, anéantis devant sa prose supérieure.
Il nous parle de littérature (on se demande bien pourquoi, quand on voit sa philosophie inepte sur le kebab en bas de chez lui, entre autres âneries), il s'en prend plein la gueule chez les uns et les autres, mais en bon masochiste, continue à nous abreuver de sa condescendance crasse, en tendant les fesses pour qu'on lui bourre le fion (pour les amis gays qui me lisent, c'est juste au sens figuré, hein, n'allez pas me dénoncer chez sos homophobie !) et lui pète la gueule, tellement il adore ça.
Une telle caricature de soi même, on se dit "non, ce n'est pas possible, il n'existe pas, il y des types derrière tout ça qui ont inventé un personnage".
Il rejette royalement le wikio, prétend-il, mais est totalement obsédé par le sujet !
Il en parle tout le temps, si ça se trouve, il saoule sa femme et ses enfants (s'il en a...) avec ça à l'heure du petit déjeuner.
Moi, tant qu'il y a un bouffon comme ça dans les parages, je ne suis pas près de lâcher la blogosphère, on s'y amuse trop !
"Endogamisme et inceste", il est taré, ce pauvre type, bon pour l'asile.
Franchement, dans le registre pure gauche, je préfère encore Gauche de Combat, quand même un peu plus crédible...

comment voulez-vous qu'il soit crédible ?



C'est ça, notre Troll ?
Il se relâche !

samedi 7 novembre 2009

incroyable, le mur tombait !


A cette époque, j'avais vingt deux ans, et j'avais vu deux fois Téléphone en concert, durant la tournée "dure limite".

Parfois résonnaient à nouveau dans ma tête ces paroles :

"Et le mur de Berlin n'a pas,
n'a pas de fin
Non le mur de Berlin,
t'en a un, j'en ai un
Il coupe la terre en deux,
comme une grosse pomme
Il coupe ta tête en deux,
comme la première pomme, un peu
Il coupe ta tête en deux
Et te fais femme ou homme,
si tu veux
Il serpente entre deux terres
Et te fais faire toutes les guerres,
toutes les guerres"
http://www.deezer.com/en/#music/telephone/dure-limite-310582

L'incroyable était en train de se produire, précédé par quelques moments clés comme l'ouverture de la frontière hongroise, des milliers d'habitants de la RDA s'engouffraient, des files ininterrompues de Trabant à la queue leu leu.
Rien qu'à ce moment là, c'était incroyable à voir, même si on pouvait s'attendre à une telle hémorragie suite à l'ouverture des frontières, car on savait que le but n'était bien sûr pas de passer des vacances en Hongrie, mais bien de rejoindre la RFA.
C'est par la suite, que c'est devenu de plus en plus fort et passionnant.
Gorbatchev le rénovateur est venu en RDA, et il eût un succès phénoménal, ce qui rendit vert de rage un certain Erich Honecker...
Puis tout s'est précipité, de manifestations en messes improvisées (église Getzemani, qui devient un des plus solides ferments de la révolte), l'incroyable finit par se produire, suite à une déclaration un peu précipitée de Günter Schabowski, les est-allemands apprennent qu'ils peuvent de suite passer en RFA (« les voyages privés pour l’étranger peuvent avoir lieu sans condition ». Question d’un journaliste « Quand cela entre-t-il en vigueur ». Réponse : « Autant que je sache, dès maintenant ». En quelques secondes, Schabowski vient d’annoncer ni plus ni moins la chute du Mur de la honte !) , ils se présentent aux postes-frontière, où l'armée leur annonce qu'il va falloir aller demander un laissez-passer et revenir se présenter : tollé général !
Sous la pression populaire, un responsable décide, malgré les ordres, de laisser passer tout le monde pour éviter un drame.
Embrassades des est-allemands avec les volpos, du jamais vu, alors que des berlinois de l'Ouest, suite à la déclaration de Schabowski, sont venus les accueillir de l'autre côté.
Les fameuses Trabant entrent dans la légende.
Les berlinois attaquent le mur avec rage, qui avec un marteau, qui avec ce qui passe sous la main, jusqu'à sa destruction totale quelques semaines plus tard.
En à peine un an, l'Allemagne aura conduit sa réunification, même si le bilan n'est pas tout rose et que les allemands de l'est ont été plus ou moins, il faut le dire, otages de l'ouest capitaliste.

Ca reste pour moi l'évènement le plus emblématique du XXe siècle, car malgré la peur, il n'y a pas eu beaucoup de violences.

On s'attendait pourtant à pire après l'écrasement de la révolte hongroise, du printemps de Prague et des évènements de Tien An Men.

Malheureusement, il en reste encore, des murs, physiques ou psychologiques.

Il y en a qui n'ont rien compris à l'histoire, même si le contexte est différent, le principe de connerie absolue reste le même.

Je lance cette chaîne en demandant à Nicolas, Le Coucou, Monsieur Poireau et à ceux qui avaient vingt ans, ou un peu plus ou un peu moins à l'époque, de se souvenir.

mardi 3 novembre 2009

on s'amuse bien, chez corto74

Il y a un drôle d'énergumène qui me lit depuis un moment, je suis déjà allé jeter un coup d'oeil sur son blog, c'était plutôt sympa, mais rien de "significatif" jusque là (il faut dire que j'ai un paquet de blogs sympas à visiter, suite à la visite de leur auteur, et il y a du boulot, ils sont très productifs, ces blogueurs !)
Et ce soir, en un seul billet, il m'a bluffé !
Il raconte comment des handicapés sont venus manger chez lui, et ce n'est pas triste !
Ben, justement, c'est ça, qui m'a plu, c'est plein de tendresse cachée, avec de l'humour, et tout et tout.
Ca change de ces espèces de sensibleries à la con made in france, genre " oh, les pauuuuvres".
J'en connais une, tiens, la mme Social, qui aurait eu du succès pendant cette soirée.
L'autre fois, je l'emmène pour un entretien dans un centre d'accueil, quand on est reparti, tous les "fauteuils roulants" lui faisaient de grands signes amicaux !
Enfin bon, on se demande qui ne l'aime pas, celle ci (même moi !)

il fallait le savoir !


Wikio vient de me répondre par rapport au fait que je ne comprenais pas pourquoi ils n'avaient jamais pris en compte aucun de mes billets, sauf un (il était en majuscules, pourtant) :

"Bonjour,
Pour des raisons éditoriales, nous ne prenons pas les articles ayant des
titres entièrement en majuscule. Or c'est le cas de vos posts. Si vous
pouvez désormais publier des titres en minuscule, il n'y aura aucun problème
pour qu'ils figurent dans Wikio."

En gros, arrête de gueuler si fort.

Je pense que certains ne vont pas se gêner pour se gausser, "ah ben tiens, le poison, depuis le temps qu'on lui dit de s'écraser avec ses écrits tonitruants et incertains, il nous casse les oreilles !"

Et pas un de ces couillons de lecteurs ne m'aurait signalé ce détail technique, bien sûr...

Ce n'est pas que je ne puisse point vivre sans Miko, mais bon...
on va baisser d'un ton, alors !

dimanche 1 novembre 2009

france telecom, la boîte de pandore


Morceaux choisis :

"

A quoi sert un ergonome ? En résumé, c’est un analyste du travail dont la tâche est de créer des situations où les opérateurs sont placés dans de meilleures conditions de confort, de sécurité et d’efficacité. Confort, on voit là le profit pour les agents. Efficacité, on voit celui de l’entreprise. L’intérêt commun est dans la sécurité, la diminution des accidents de travail. En ces lieux de coopération et d’antagonisme que sont les entreprises, les ergonomes développent des opérations gagnant-gagnant, en collaboration avec les directeurs d’établissements, les cadres, les agents, les syndicats et les CHSCT.

... Dans le jargon des directeurs de France Télécom (essentiellement issus de l’école Polytechnique) adeptes des « sciences dures », il s’agissait là de « sciences molles », donc de théories fumeuses. A l’époque (je doute que cela ait beaucoup changé depuis), un diplômé d’une grande école, pouvait entrer dans le monde du travail à moins de 30 ans et gérer illico des dizaines, voire des centaines de salariés, sans avoir reçu une seule heure de formation sur ces sciences méprisées. Le fait qu’elles ne soient pas enseignées à Polytechnique suffisait d’ailleurs à prouver qu’elles servaient tout juste à sodomiser les diptères."


"L’une d’elle, je ne saurais l’oublier tant elle nous faisait hurler, était que pour améliorer la productivité, il fallait « introduire une dose de stress dans l’entreprise ». Quiconque doute de la véracité de cette information devrait consulter la presse de l’époque qui promouvait avec ravissement cette méthode de management. La liste des futurs suicides s’est ouverte ainsi."

http://www.m-pep.org/spip.php?article1519

petits meurtres entre amis


Pasqua condamné dans l'histoire de l'angolagate, Chirac de nouveau sur le devant de la scène judiciaire, ça sent l' épuration "nouvel UMP", ça...
Mais ce que les loups entre eux (c'est con, un loup) ne comprennent jamais, c'est que les vieux, se sentant encerclés mettent toutes leur énergie à bouffer les jeunes, ressortent des lapins empoisonnés du chapeau qu'on veut leur faire porter, et il y a toujours un renard (impulseur, ou simple spectateur ?) quelque part pour regarder la curée et se marrer.
D'ailleurs, à ce jeu, le bon peuple aime à se prendre pour le goupil qui se lèche les babines, même si ce n'est qu'un fantasme.
On peut bien rêver un peu...